LEÇON A247
DAVID DENOMBRE LES ISRAELITES
2 Samuel 24:1-25
VERSET DE MEMOIRE: “Ce n’est pas une grande armée qui sauve le roi, ce n’est pas une grande force qui délivre le héros”
(Psaume 33:16).
I Les raisons Qui Ont Poussé David à Dénombrer Israël
- La colère de Dieu fut enflammée contre Israël, peut-être à cause d’une autre chute dans l’idolâtrie: 2 Samuel 24:1; Juges 2:14, 20; 3:8; 10:7.
- David fut utilisé par Dieu comme un instrument pour punir Israël, au moment où David lui-même était châtié par Dieu: 2 Samuel 24:1, 2; 1 Chroniques 21:1-3; Matthieu 18:7; Deutéronome 28:50; Juges 3:12; Jérémie 5:15.
- Dieu donna un avertissement à David, ce dont il fit peu cas, alors il fut sans excuse: 2 Samuel 24:3, 4; 1 Chroniques 21:3, 4; Proverbes 12:15; 15:22; 29:1.
- Le dénombrement était fait dans le but de déterminer la force militaire de la nation ce qui pourrait justifier sa raison d’être: 2 Samuel : 24 :5-9 ; 1Chroniques 21 : 5-7 Psaume 20:8; Matthieu 7:26, 27; Psaume 33:15, 16; Osée 1:7; Aggée 2:22.
II La Punition de Dieu pour le Péché
- David se repentit de son péché faisant pour cela une pleine confession, et demanda le pardon: 2 Samuel 24:10, 17; 1 Chroniques 21:8, 16, 17; Psaumes 34:19; 51:19; 2 Corinthiens 7:10.
- Dieu donna à David l’occasion de montrer le fondement de sa confiance pour la délivrance: 2 Samuel 24:11-13; 1 Chroniques 21:9-12.
- David démontra que Dieu était sa confiance et son lieu de refuge: 2 Samuel 24:14; 1 Chroniques 21:13; Psaumes 46:2; 118:8, 9; Proverbes 3:5; Esaïe 2:22; Habacuc 2:4; Hébreux 10:38.
- Les ravages causés par la plaie perturbèrent l’exactitude du dénombrement: 2 Samuel 24:15; 1 Chroniques 21:14.
- La plaie fut arrêtée par Dieu à Jérusalem: 2 Samuel 24:16, 17; 1 Chroniques 21:15, 20.
III L’Offrande sur l’Aire
- Dieu demanda à David de Lui faire un sacrifice: 2 Samuel 24:18; 1 Chroniques 21:18, 19; Romains 12:1, 2; Exode 32:29.
- L’insistance de David à acheter la place et l’offrande du sacrifice est une indication de profonde consécration: 2 Samuel 24:19-25; 1 Chroniques 21:21-27; Philippiens 3:7, 8; Matthieu 16:24.
- Le lieu du sacrifice de David devint en fin de compte le site du Temple: 1 Chroniques 21:28-30; 22:1-5; 2 Chroniques 3:1.
COMMENTAIRE
L’Homme, David
Le roi David avançait en âge. Sa vie avait été une vie active, les obligations militaires prenaient la plus grande partie de son temps et de ses préoccupations. Mais il avait été capable, grâce au secours de Dieu, d’annexer beaucoup de territoires à son royaume. Sous son règne et sous celui de Salomon, la nation d’Israël s’était rendue propriétaire de la terre qui leur fut promise par Dieu.
David avait antérieurement péché. Il avait commis des erreurs. Mais il s’en était entièrement repenti et avait trouvé le pardon. L’une de ses prières constantes était qu’il ne fût pas coupable en péchant présomptueusement contre la miséricorde de Dieu – péché qu’il classa comme une grande transgression. Et à cause de cette intention de son cœur, il avait été puissamment utilisé par Dieu durant sa vie.
Par cet homme de Dieu nous avons reçu plusieurs révélations du plan de Dieu qui démontrèrent comment Dieu traita avec lui. De telles vérités nous sont aussi enseignées dans les nombreux Psaumes écrits par David. Il avait gardé, à tous moments, une haute estime pour Dieu, et pour l’oint de Dieu. Il avait attendu l’heure de Dieu dans la plupart des choses qu’il sentait être la volonté de Dieu pour lui et s’arracha par ce moyen à beaucoup de souffrances et d’inquiétude. Il avait été un fidèle serviteur de son Dieu et avait vécu près de Lui.
Nous pourrions alors penser qu’il serait beaucoup souhaitable que ce chapitre spécial consacré à la vie de David n’ait pas lieu. C’est un autre incident triste et regrettable. Mais à cause d’une intention du cœur de David, l’incident finit par la victoire; et grâce à son attitude d’homme qui se repent, non seulement David, mais nous aussi avons tous reçu des leçons spirituelles et profitables.
On ne nous a pas dit tous les détails relatifs à cet incident. On ne nous a pas dit le but pour lequel cet acte fut commis, ni tout ce qui eut lieu à cause de cela. Mais on a assez clairement montré ce qu’il nous faut pour tirer les leçons spirituelles que Dieu aimerait que nous possédions. Ce sont ces faits manifestes que nous allons considérer dans l’étude de cette leçon.
Le Péché Qui Condamne
L’Ecriture nous renseigne très peu au sujet de l’interdiction de Dieu quant au dénombrement d’Israël. C’était cependant pour David, une chose très peu sage à faire. Le fait fut révélé par plusieurs déclarations faites de façon explicite dans le texte de la leçon. Premièrement l’ordre fut déplaisant, même à Joab, l’homme militaire habituellement sans scrupule, qui se souciait peu des résultats, qu’ils fussent positifs ou négatifs quand ils sont contraires à ses aspirations. Joab s’opposa à David, et les événements qui suivirent démontrèrent clairement que David avait tort en allant contre les opinions de son chef d’armée.
La seconde et véritable preuve de son erreur se trouve dans la Parole de Dieu à travers Son Prophète et la punition qui survint suite à l’acte délibéré de David.
Les hommes de guerre d’Israël furent dénombrés deux autres fois seulement dans leur histoire, aussi longtemps que nous le sachions à travers les Ecritures. Mais en ces deux occasions ce fut selon la Parole et l’ordre de Dieu. Cet incident fut la pensée de David incité par Satan et a dû être une partie du plan gardée en mémoire concernant certaines aventures militaires ultérieures. Cependant, Dieu utilisa cette action de David pour attirer le jugement sur Israël. On ne nous indique pas non plus la raison pour laquelle ce jugement a été exercé, mais peut-être c’était à cause d’une autre chute dans l’idolâtrie, comme c’était l’exemple d’échecs fréquents de la part des Israélites.
La valeur du recensement fut annulée par un trait de justice divine, car la peste suivit le même parcours que les recenseurs, et laissa plusieurs morts dans son sillage. Si le péché de David était d’avoir mis sa confiance en la force de son peuple – en prenant la chair pour appui – il n’aurait plus de statistiques dont il serait fier après le jugement exercé sur eux par la main de Dieu. La nation fut terriblement et tragiquement affaiblie en un rien de temps.
D’autre part, si le péché de David consistait à établir délibérément un plan pour entreprendre une certaine aventure qui ne fut pas en accord avec la volonté de Dieu, la main de Dieu l’empêcha d’accomplir cet acte insensé. Après la peste, David n’avait rien auquel on pourrait penser habituellement comme sécurité pour lui. Il fut poussé par la miséricorde divine à compter sur le Dieu Tout-Puissant. La nécessité de marcher par la foi et dans l’obéissance à la seule voix de Dieu, fut portée à son attention par ces séries d’événements terrifiants sans pareils qui ne sont connus ni dans l’histoire sainte, ni dans l’histoire séculaire.
Finalement, si le péché de David était dû à l’orgueil, il aurait été alors reconnaissant à Dieu de ce que ce péché odieux fut démasqué, ainsi, il s’en débarrasserait avant qu’il ne fût trop tard. Satan utilise le plus souvent l’orgueil dans ses tentatives de prendre au piège les hommes. Mais Dieu hait ce péché et Il le punit plus sévèrement. Nous pouvons bien nous méfier de toute entrée de ce péché destructeur de l’âme dans notre cœur et dans notre nature.
La Voie Sage de David dans le Malheur
Nous pouvons voir dans cet exposé que Dieu parla d’abord à travers la conscience de David. Dieu fit remonter à sa mémoire et en son cœur la connaissance du péché qu’il avait commis; et David cria à Dieu pour la délivrance. Nous lisons que notre Dieu miséricordieux lui pardonna.
Mais David avait des conditions à remplir avant d’être entièrement pardonné. Ces conditions à remplir à l’égard de beaucoup d’individus seraient la restitution à faire – la réparation des torts commis d’une façon ou d’une autre envers une autre personne. Dieu ne pardonne pas entièrement les péchés que nous pouvons nous-mêmes réparer. Ensemble la Loi et l’Evangile enseignent la nécessité de la restitution si nous voulons être pardonnés par Dieu. Cependant il y a certains péchés commis à l’endroit de l’homme pour lesquels des réparations ne sont pas possibles. Des gens peuvent être diffamés, gravement blessés et mourir avant que le pécheur ne vienne chercher le pardon auprès de Dieu. On ne peut plus réclamer d’eux le pardon, et dans ces cas Dieu pardonne à l’offenseur.
Il y a des résultats précis qui accompagnent inévitablement certaines genres de péché, quand bien même la culpabilité de ce péché est ôtée et la personne entièrement justifiée devant Dieu. Parfois un certain degré de ces résultats est laissé pour rappeler à l’individu pardonné, la fosse d’où il est tiré. Parfois les résultats qui accompagnent une vie de péché sont des infirmités physiques ou la difformité occasionnée par une vie de péché. Et parfois ces résultats sont des châtiments dus aux jugements permis ou envoyés par Dieu pour ôter de la vie d’un homme né de nouveau quelqu’autre brin de scorie ou d’impureté spirituelle. David trouva que la recherche du pardon de Dieu en ce moment n’était pas tout ce qu’il devait faire. Il avait à choisir entre trois jugements possibles contre lui et la nation.
Nous voyons que David agit très sagement tout comme le ferait un homme en faisant son choix. Il choisit de tomber dans les mains de Dieu, car il dit: “Car ses compassions sont immenses”. Il ne demanda pas à fuir la punition qui était justement la sienne. Il ne choisit pas une voie facile pour lui-même. Il voulait seulement que sa punition vint directement de Dieu, et non d’un homme. David connut l’amour et la miséricorde de Dieu, et il connut aussi la haine et la jalousie sans scrupule de l’homme. Il fut extrêmement sage en préférant le châtiment du Seigneur.
Si David avait choisi la guerre, il aurait été personnellement en sécurité puisque le peuple avait déjà fait passer un décret lui interdisant d’aller sur le champ de bataille. S’il avait choisi la famine, il n’aurait pas souffert, car plusieurs de ses sujets qui l’aimaient auraient voulu souffrir plutôt que de voir leu roi en difficulté. Il était aussi un homme riche; et même si on ne lui donnait pas de la nourriture, il pouvait en acheter. Mais il montra la grandeur de son cœur et de son esprit en choisissant de tomber entre les mains de Dieu et prendre part à la souffrance due à la peste.
David savait que Dieu ne faisait point acception de personne dans Ses jugements, et qu’Il dirigerait la punition là où il convenait de le faire. Il savait qu’il n’y a pas de main humaine, ni de mur de palais qui pût empêcher la main du jugement de Dieu de sauvegarder lui et sa famille. David se plaça volontairement sur un pied d’égalité avec ses plus humbles serviteurs en ce qui concerne le jugement de Dieu, en agissant de cette manière. Il ne fait aucun doute que Dieu a vu et a pris note de cette attitude de Son Serviteur repentant.
La Confiance en Dieu ou en l’Homme
Le secret de David lorsqu’il choisit de tomber entre les mains de Dieu, fut une dépendance et une confiance en le Dieu vivant. Il y a plusieurs personnes qui aimeraient tomber entre les mains de l’homme, plutôt que de se confier à Dieu quand arrive une crise dans leurs vies. Ils ne voient jamais les innombrables milliers de personnes que Dieu console, guérit, sauve et délivre. Ils ne voient que ceux qui manquent de recevoir certaines de ces bénédictions de Dieu. Ceux qui prennent appui sur la chair ne voient jamais l’homme jadis boiteux, sauter et louer Dieu. Ils ne voient que la civière occupée ou un souffrant qui n’a reçu encore ce que Dieu a lui à donner. Ils manquent aussi de regarder l’autre côté de l’image pour voir l’étalage des misérables victimes de l’erreur humaine, et de la myopie – objet d’expérimentation et ils ont peut-être une bonne intention mais qui est, malgré tout, demeurée vaine.
La miséricorde et la considération humaines reçues par même les plus illustres et les plus honorables personnalités ne peuvent certainement pas être comparées à la miséricorde et à l’amour infinis de notre Dieu. Il n’y a pas de tristesse terrestre que le Ciel ne pusse guérir, mais la terre a beaucoup de douleurs qui ont été aggravées, et qui le sont encore par les meilleurs efforts de l’homme bien intentionné mais limités. Soyons comme David qui préféra tomber entre les mains de Dieu plutôt qu’entre les mains de l’homme, et qui désira se fier plutôt à Dieu qu’à sa propre ingéniosité ou sagesse, pour sa délivrance.
L’Attitude de David Vis-à-Vis du Plan de Dieu
David avait toujours maintenu son cœur, dirigé vers Dieu, même au moment où il avait de plus grands remords et des malheurs comme c’était le cas à ce moment-là. Ceci était la grande différence entre son prédécesseur Saül et lui. La miséricorde de Dieu fut ôtée de Saül parce qu’il a abandonné complètement Dieu et se détourna de Lui. En temps de besoin, vers la fin de sa vie, Saül chercha Dieu mais de façon superficielle, et il mourut dans l’apostasie totale.
Par contre, lorsque David se trouvait en difficulté, il n’abandonnait pas son Dieu; mais plutôt, il courait vers Lui. Dieu fut son refuge en temps de malheur. Dieu fut le premier à qui David confessait ses péchés et le premier auquel il faisait recours pour être délivré. David récidiva mais il fut restauré parce qu’il se repentit et rechercha la miséricorde de Dieu. Saül apostasia et était perdu pour toujours parce qu’il abandonna Dieu et refusa de se repentir de ses péchés et de sa rébellion.
David ne rejeta pas Dieu comme le firent les Juifs au temps de Christ. il ne voulut rien faire qui puisse contrecarrer ou empêcher le plan de Dieu. “Que ta volonté soit faite”, fut l’esprit sinon les paroles mêmes de ses prières. Et ce moment-là ne faisait pas exception. Il vit la gravité de son péché et dit à Dieu de laisser Sa main de jugement agir contre lui et contre la maison de son père. Cela signifie que les frères et sœurs de David devaient partager avec lui les punitions de Dieu.
Comme cette requête est inhabituelle! Les Juifs du temps de Christ avaient une prière tout à fait différente. Ils prièrent que “Son Sang retombe sur nous et sur nos enfants“. Ils ne s’intéressaient pas au plan que Dieu avait tracé pour eux comme à une nation. Ils ne voulaient pas prendre part à la volonté de Dieu en ce qui les concerne. Ils ne se soucièrent pas que leurs enfants étaient placés sous une malédiction, et rendus incapables d’exécuter le plan de Dieu. Ils choisirent pour eux et pour leurs enfants la culpabilité d’un crime capital – un crime d’une ampleur infinie puisqu’il s’agissait du rejet et de la condamnation à mort du Fils de Dieu. Cette malédiction et cette culpabilité occasionnèrent à leur nation la dispersion et l’échec total.
Mais nous pouvons voir que David garda la volonté et le plan de Dieu très soigneusement. Dieu avait dit que le Royaume éternel viendrait de la maison de David. A lui de dire: “Que ta main soit donc sur moi et sur la maison de mon père!” – la prière que l’on souhaiterait que David fit à la place de celle-ci – signifierait que David se retirait de l’Alliance que Dieu avait faite avec lui concernant sa maison. Cela signifierait que le plan de Dieu aurait été retardé – ou dévié vers une autre voie, sinon même empêché. La justesse de son attitude est démontrée dans le fait que Dieu entendit sa prière, et garda l’Alliance qui déclara que le royaume de David serait ce royaume-là qui ne finira jamais.
Le Fervent Jébusien et le Sacrifice de David à Dieu
Nous pouvons maintenant voir aussi les merveilleux traits d’un autre homme qui fut intéressé à ces manières d’agir. Sans doute il y a plusieurs raisons pour lesquelles Aravna fit son offre à David: il craignait pour la vie de David le roi; il était soucieux du peuple; il était anxieux pour sa propre sécurité, et il manifesta lui aussi un intérêt pour l’honneur de Dieu. Aravna désirait faire un sacrifice colossal et onéreux. Il désirait faire sa part – et même davantage. Il désirait abandonner tout ce qu’il possédait pour sauver à la fois sa vie et celle des autres en Israël.
Mais les événements démontrèrent le caractère du cœur de David. Il n’offrirait pas à Dieu quelque chose qui ne lui coûterait rien. S’il avait accepté l’offre d’Aravna, les sacrifices seraient alors ceux d’Aravna et non les siens. Dieu avait demandé à David d’offrir le sacrifice, mais David ne s’intéressait pas à la recherche d’une voie autre que celle de Dieu dans cette affaire. Il désirait donner le prix total.
Toute autre direction n’aurait pas plu à Dieu qui exige une obéissance absolue à chacun de Ses commandements. Ceci étant, et quand bien même David donna tout le prix de la terre et du sacrifice, il eut toujours sacrifice fait par Aravna. Il fut privé de sa ferme, et du troupeau qu’il avait utilisé et dont il vivait. Il dut recommencer sa vie ailleurs. Mais il aurait sûrement considéré que son sacrifice avait plus de valeur s’il vivait, pour voir le jour où le plan de Dieu concernant cet endroit particulier, aurait été révélé.
Il a été dit que le “lieu de profonde consécration deviendra le temple du Dieu Vivant’”… Ceci est vrai dans un sens spirituel aussi bien que littéral et terrestre. Le lieu où on offrit le sacrifice fut le Mont Morija où le Temple fut construit plus tard par Salomon. Ce lieu de sacrifice devint le lieu où plusieurs milliers de personnes prièrent et reçurent une réponse à leurs prières.
Pensez aux centaines de milliers de sacrifices qui étaient apportés, et qui furent reçus par Dieu! Pensez aux innombrables milliers de personnes qui sentirent leurs péchés pardonnés là! Pensez à beaucoup qui furent sanctifiés! Pensez à beaucoup qui furent bénis! Une abondante récompense, en effet, pour le sacrifice fait par Aravna et David afin qu’une place fût pourvue pour l’adoration de Dieu.
Le feu de Dieu tomba du Ciel sur l’offrande que David fit là. Le sacrifice fut accepté. Le pardon fut total. La plaie s’arrêta là. La paix et l’approbation de Dieu furent de nouveau sur la nation d’Israël et sur leur roi David. Comme le pardon et la miséricorde de notre Dieu sont merveilleux!
QUESTIONS
- Quel péché David commit-il au cours de cet incident?
- Quel motif était probablement derrière ce péché?
- Combien de fois l’Ecriture signale-t-elle que ce genre de dénombrement a été entrepris en Israël?
- Comment la main de Dieu a-t-elle changé et rendu inefficace n’importe quelle fausse confiance que David aurait eue?
- Comment le péché fut-il punit?
- Quelle chose surnaturelle eut lieu en ce qui concerne la punition?
- Quels traits de caractère de David sont montrés dans son choix des méthodes de punition?
- Mettez en contraste l’attitude de David celle de Saül lorsqu’ils étaient chacun en difficulté.
- Quels traits de caractères louables voyez-vous dans l’attitude et la conduite d’Aravna?
- Nommez deux autres événements qui eurent lieu au Mont Morija, et dites quel sens spirituel les trois ont.