DÉVOTION DU 22 NOVEMBRE 2021 Lecture biblique : Lévitique 3: 1-17
Lecture biblique : Lévitique 3: 1-17
«C’est ici une loi perpétuelle pour vos descendants, dans tous les lieux où vous habiterez: vous ne mangerez ni graisse ni sang.» (Lévitique 3:17)
Il y a plusieurs années, tandis que la famille de ma mère était réunie pour leur réunion de famille, la génération de ma mère s’était disposée en un grand cercle et les plus jeunes s’étaient assis partout où il y avait un siège.
Comme cette génération plus âgée racontait à tour de rôle chacun son histoire, j’étais assis et je pleurais, étant ému.
L’un après l’autre, ils avaient répété la bonté du Seigneur. Ils avaient témoigné de guérisons, de la protection et de la conduite divines, puis d’autres expériences merveilleuses qu’ils avaient eues avec le Seigneur.
L’une des histoires qui m’avait marqué, concernait la foi de ma grand-mère.
Mes grands-parents sont morts dans un accident d’automobile quatre ans avant ma naissance; donc je n’ai jamais eu l’occasion de les connaître.
Bien que j’aie entendu des parties de cette histoire auparavant, ce jour-là, un de mes oncles l’a racontée dans son intégralité.
Mes grands-parents avaient déménagé de l’Oklahoma pour une ferme sur une terre ferme en Californie; et mon grand-père et mes oncles étaient en train de défricher et brûler les broussailles pour ensemencer le champ, quand soudain, un lynx roux avait traversé le feu et attaqué deux d’entre eux.
Mon grand-père avait pu tuer ce félin; mais un peu plus tard, les autorités avaient découvert qu’il était porteur de la rage.
Mon grand-père et l’oncle qui nous racontait l’histoire, avaient été emmenés en train vers le grand hôpital le plus proche, situé à plusieurs heures de leur habitation, afin qu’ils puissent être soignés de ce mal.
Le souvenir était encore si vif pour mon oncle au point où, bien qu’il ait déjà 80 ans, il pouvait encore décrire la chambre comme s’il y était allé la veille.
Ma grand-mère était laissée dans la ferme avec ses autres enfants, et était à quelques mois de la naissance de son sixième enfant.
Pour avoir de l’eau, elle devrait se rendre en chariot jusqu’à la propriété de son frère, à plus de huit kilomètres plus loin.
Malgré ces problèmes, elle n’avait pas désespéré. Elle priait et croyait que Dieu était au contrôle. Son mari était un rétrograde. Elle ne savait pas si mon grand-père ou son fils allaient prier ou revenir un jour à la maison, mais elle croyait en Dieu malgré tout.
Le Seigneur avait entendu ces prières et avait guéri mon grand-père et mon oncle.
Peu de temps après leur retour à la maison, mon grand-père s’était rendu compte qu’il n’avait jamais pensé à prier pendant toutes ces semaines qu’il était si proches de la mort.
Il avait finalement commencé à prier pour la conviction, et cette prière avait été exaucée; peu de temps après, il était sauvé.
Au fur et à mesure que le récit des histoires de notre famille continuait, histoires exprimant des louanges et des remerciements pour la bonté du Seigneur, j’ai réalisé que tout ce à quoi je faisais face, que j’avais fait face dans le passé ou que j’allais affronter dans le futur n’était pas trop difficile à gérer pour Dieu.
À cette époque, il y avait des problèmes dans ma vie qui menaçaient de me submerger; mais en entendant parler des bonnes choses que le Seigneur avait faites dans le passé, cela m’avait donné la foi de Lui faire confiance pour mon avenir.
Dans le verset de réflexion d’aujourd’hui, les enfants d’Israël ont pour instruction de faire des sacrifices d’actions de grâces, une loi perpétuelle pour leurs descendants, où qu’ils soient.
En d’autres termes, ils devaient exprimer la bonté du Seigneur en présence de leurs enfants et petits-enfants, non seulement à certains moments de l’année où la période des fêtes imposerait d’être reconnaissants, mais continuellement.
CONTEXTE
L’offrande du sacrifice d’actions de grâces à Dieu était différente des autres offrandes mentionnées dans Lévitique.
L’offrande peut être un mâle ou une femelle. C’était aussi la seule offrande partagée avec les fidèles.
Une fois le sacrifice achevé, le sacrificateur prend une grande partie de la viande et le reste revient à la personne qui a fait l’offrande; elle pouvait ensuite manger la viande avec sa famille et ses amis.
Le repas d’offrande du sacrifice d’actions de grâces était bien plus que le simple repas d’amitié partagé avec des amis.
C’était aussi un moment de joyeuses actions de grâce où tout est clair(pur) entre l’adorateur et Dieu.
Lévitique 7: 11-34 donne des instructions supplémentaires sur les offrandes d’actions de grâces.
REGARDER DE PLUS PRES
Que devaient apporter les enfants d’Israël comme offrande d’actions de grâces?
Pourquoi la brebis ou l’agneau devait être sans défaut ?
Quelles bénédictions Dieu a-t-Il accordées à votre vie en réponse à une offrande que vous Lui avez faite?
CONCLUSION
Sommes-nous en train de faire des offrandes de paix ou d’actions de grâces au Seigneur?
Lorsque nous le faisons, nous avons l’assurance qu’Il nous bénira abondamment!