DÉVOTION 2021 DU 9 MAI Colossiens 1 : 1-14.
mai 9, 2021
Lecture biblique : Colossiens 1 : 1-14.
« Pour marcher d’une manière digne du Seigneur et lui être entièrement agréables, portant des fruits en toutes sortes de bonnes œuvres et croissant par la connaissance de Dieu. » (Colossiens 1 : 10)
Ayant grandi dans une zone rurale, parcourir la crête de collines était quelque chose de naturel pour moi.Mes frères, mes sœurs et moi, ainsi que des enfants du quartier qui vivaient à moins d’un kilomètre de distance, faisions du vélo ou marchions partout dans la région à la recherche d’aventure.
Nous pataugions dans les ruisseaux, explorions les collines et les vallées, vérifions l’étang de notre grand-oncle et, en général, nous passions de merveilleux moments lors de nos errances.
Parfois, nous cueillions des champignons, des baies ou des cerises, et plus tard en été, nous visitions les pommiers et les noyers qui poussaient dans les bois ou le long des champs.
Il y avait des pommiers remplis de pommes « légèrement » vermifuges, et nous comprenions que personne ne s’occupait d’eux. Il y avait des arbres à noix de caryer et des arbres qui produisaient des noix noires vraiment dures.
Un arbre en particulier marqua mon esprit parce qu’il était une vraie déception. Il était situé juste au sommet de la colline, à côté du champ de foin, à moins de cinq cents mètres de la maison.
Les feuilles avaient la forme de celles d’un noisetier, et lorsque les noix se formaient, elles ressemblaient à des noisettes.
Le désenchantement vint le jour où nous les avons ouvertes. Il n’y avait rien dedans ; c’étaient juste des coquilles vides !
Je me suis souvent interrogé sur cet arbre. Avait-il une sorte de virus qui le rendait infructueux ? Le sol manquait-il d’un minéral essentiel ? Quelle que soit la cause, j’ai cessé d’espérer y trouver des noix.
En tant que chrétiens, nous sommes les plantes du royaume de Dieu et notre but ici est de porter du fruit. Dieu n’a pas d’arbustes ornementaux dans Ses vergers !
Il nous ordonne de porter du fruit comme signe pour ceux qui nous entourent, afin qu’ils sachent que nous marchons avec Jésus et que nous apprenons de Lui.
Peu importe nos dons ou nos qualités, combien nous pouvons être beaux ou simples, ou combien nos talents sont variés ou limités ; nous devons mener une vie « digne » d’être appelée chrétienne.
Nos choix, notre conduite et notre caractère doivent honorer Son nom et Lui plaire. Être considéré comme « agréable » au Seigneur, c’est être « fructueux » dans tous les aspects de la vie.
Faisons notre part pour assimiler les nutriments appropriés dont nous avons besoin en tant que chrétiens afin d’éviter les virus nuisibles et de porter de bons fruits. Lire la Parole de Dieu et prier sans cesse nous aidera à maintenir notre santé spirituelle, en vue de produire une belle récolte.
Contexte
La ville cosmopolite de Colosse était autrefois une métropole florissante, mais au moment où Paul écrivit cette lettre aux croyants là-bas, elle était devenue une ville beaucoup plus petite.
Le groupe de croyants de Colosse, majoritairement païens, n’avait jamais vu Paul, mais avait probablement entendu des nouvelles positives sur lui, de la part de leur chef, Epaphras.
Cependant, des problèmes spirituels dans l’église sont survenus en raison de l’influence de diverses religions auxquelles les gens étaient exposés. Les « gnostiques », ou « les intellectuels», étaient des philosophes dont les croyances étaient empruntées à Platon, combinées au judaïsme, aux idées orientales et au christianisme.
Leurs enseignements compliqués ont rendu difficile pour la plupart des gens d’atteindre le salut, au point où d’ailleurs les philosophes se croyaient supérieurs aux autres.La connaissance à laquelle Paul se réfère au verset 9, contrairement à celle des Gnostiques, n’est pas théorique, mais expérientielle, et implique un discernement complet.
« Salutations » est une manière concise de décrire cette partie des Écritures. Cependant, il y avait bien plus que de simples salutations. Dans ces versets éloquents, Paul donne le ton de l’épître, montrant son amour pour ces croyants et son espoir pour leur future croissance spirituelle.
En exprimant pour eux, ses remerciements à Dieu, et en racontant ses prières pour leur croissance spirituelle, un lien a été établi avec la congrégation, les rendant plus réceptifs aux instructions qui vont suivre.
Regarder de plus près
1. Énumérez trois vertus que Paul désirait de Dieu pour les Colossiens.
2. Pourquoi Paul s’est-il engagé à prier pour la congrégation de Colosse ? Que pouvons-nous apprendre de son exemple ?
3. Qu’est-ce qui vous plaît dans la manière dont Paul a ouvert sa lettre aux Colossiens ?
Conclusion
L’approche affectueuse de Paul envers le bien-être spirituel du groupe de Colosse ne pouvait qu’accroître leur respect pour lui et le véritable évangile qu’il a embrassé.
D’autres autour de nous liront nos vies, tout comme les Colossiens ont lu cette épître. Dans quelle mesure l’amour de Jésus transparait-il en nous ?
Nous pataugions dans les ruisseaux, explorions les collines et les vallées, vérifions l’étang de notre grand-oncle et, en général, nous passions de merveilleux moments lors de nos errances.
Parfois, nous cueillions des champignons, des baies ou des cerises, et plus tard en été, nous visitions les pommiers et les noyers qui poussaient dans les bois ou le long des champs.
Il y avait des pommiers remplis de pommes « légèrement » vermifuges, et nous comprenions que personne ne s’occupait d’eux. Il y avait des arbres à noix de caryer et des arbres qui produisaient des noix noires vraiment dures.
Un arbre en particulier marqua mon esprit parce qu’il était une vraie déception. Il était situé juste au sommet de la colline, à côté du champ de foin, à moins de cinq cents mètres de la maison.
Les feuilles avaient la forme de celles d’un noisetier, et lorsque les noix se formaient, elles ressemblaient à des noisettes.
Le désenchantement vint le jour où nous les avons ouvertes. Il n’y avait rien dedans ; c’étaient juste des coquilles vides !
Je me suis souvent interrogé sur cet arbre. Avait-il une sorte de virus qui le rendait infructueux ? Le sol manquait-il d’un minéral essentiel ? Quelle que soit la cause, j’ai cessé d’espérer y trouver des noix.
En tant que chrétiens, nous sommes les plantes du royaume de Dieu et notre but ici est de porter du fruit. Dieu n’a pas d’arbustes ornementaux dans Ses vergers !
Il nous ordonne de porter du fruit comme signe pour ceux qui nous entourent, afin qu’ils sachent que nous marchons avec Jésus et que nous apprenons de Lui.
Peu importe nos dons ou nos qualités, combien nous pouvons être beaux ou simples, ou combien nos talents sont variés ou limités ; nous devons mener une vie « digne » d’être appelée chrétienne.
Nos choix, notre conduite et notre caractère doivent honorer Son nom et Lui plaire. Être considéré comme « agréable » au Seigneur, c’est être « fructueux » dans tous les aspects de la vie.
Faisons notre part pour assimiler les nutriments appropriés dont nous avons besoin en tant que chrétiens afin d’éviter les virus nuisibles et de porter de bons fruits. Lire la Parole de Dieu et prier sans cesse nous aidera à maintenir notre santé spirituelle, en vue de produire une belle récolte.
Contexte
La ville cosmopolite de Colosse était autrefois une métropole florissante, mais au moment où Paul écrivit cette lettre aux croyants là-bas, elle était devenue une ville beaucoup plus petite.
Le groupe de croyants de Colosse, majoritairement païens, n’avait jamais vu Paul, mais avait probablement entendu des nouvelles positives sur lui, de la part de leur chef, Epaphras.
Cependant, des problèmes spirituels dans l’église sont survenus en raison de l’influence de diverses religions auxquelles les gens étaient exposés. Les « gnostiques », ou « les intellectuels», étaient des philosophes dont les croyances étaient empruntées à Platon, combinées au judaïsme, aux idées orientales et au christianisme.
Leurs enseignements compliqués ont rendu difficile pour la plupart des gens d’atteindre le salut, au point où d’ailleurs les philosophes se croyaient supérieurs aux autres.La connaissance à laquelle Paul se réfère au verset 9, contrairement à celle des Gnostiques, n’est pas théorique, mais expérientielle, et implique un discernement complet.
« Salutations » est une manière concise de décrire cette partie des Écritures. Cependant, il y avait bien plus que de simples salutations. Dans ces versets éloquents, Paul donne le ton de l’épître, montrant son amour pour ces croyants et son espoir pour leur future croissance spirituelle.
En exprimant pour eux, ses remerciements à Dieu, et en racontant ses prières pour leur croissance spirituelle, un lien a été établi avec la congrégation, les rendant plus réceptifs aux instructions qui vont suivre.
Regarder de plus près
1. Énumérez trois vertus que Paul désirait de Dieu pour les Colossiens.
2. Pourquoi Paul s’est-il engagé à prier pour la congrégation de Colosse ? Que pouvons-nous apprendre de son exemple ?
3. Qu’est-ce qui vous plaît dans la manière dont Paul a ouvert sa lettre aux Colossiens ?
Conclusion
L’approche affectueuse de Paul envers le bien-être spirituel du groupe de Colosse ne pouvait qu’accroître leur respect pour lui et le véritable évangile qu’il a embrassé.
D’autres autour de nous liront nos vies, tout comme les Colossiens ont lu cette épître. Dans quelle mesure l’amour de Jésus transparait-il en nous ?