CONSOLEZ-VOUS LES UNS LES AUTRES – DÉVOTION JOURNALIÈRE DU 06 NOVEMBRE 2020 : 2 Corinthiens 1: 3-4

CONSOLEZ-VOUS LES UNS LES AUTRES – DÉVOTION JOURNALIÈRE DU 06 NOVEMBRE 2020 : 2 Corinthiens 1: 3-4

novembre 6, 2020

CONSOLEZ-VOUS LES UNS LES AUTRES
« Béni soit Dieu, le Père de notre Seigneur Jésus Christ, le Père des miséricordes et le Dieu de toute consolation, qui nous console dans toutes nos afflictions, afin que, par la consolation dont nous sommes l’objet de la part de Dieu, nous puissions consoler ceux qui se trouvent dans quelque l’affliction! » 2 Corinthiens 1: 3-4

Les autres ne pouvaient qu’imaginer la peine que nous avions ressentie en voyant notre précieux nouveau-né subir plusieurs opérations chirurgicales majeures pour corriger une défiguration faciale qui était présente à sa naissance.

Nous savions dans notre cœur que ces procédures conseillées par ses médecins seraient mieux exécutées pendant qu’il était jeune; mais nous ne pouvions pas nous empêcher de nous demander pourquoi Dieu avait permis qu’une telle épreuve se produise.

Nous, avec nos amis et notre famille, avions prié avec ferveur pour un miracle de guérison divine immédiate et avions cru que cela pouvait arriver, mais nous n’avions vu aucun miracle.

Pendant une période de cinq ans, de multiples interventions chirurgicales avaient corrigé le problème, qui n’a laissé qu’une cicatrice sur la lèvre de notre fils.

Il est devenu un garçon très sensible et compatissant, et nous avons remercié Dieu pour lui, mais nous ne savions toujours pas pourquoi Dieu avait permis cette épreuve.

Puis un jour, nous avions reçu un appel de l’hôpital où notre fils avait passé tant de temps pour être soigné. Un bébé avec une grave anomalie faciale venait de naître là-bas, et les jeunes parents étaient bouleversés.

On nous a demandé si nous pourrions venir offrir un peu de réconfort à partir de notre propre expérience, afin que les parents sachent que leur bébé avait un bel avenir et que ce malheur pourrait être surmonté.

En ce moment-là, nous avions su pourquoi Dieu nous avait permis de vivre cette expérience.

Notre famille pourrait faire preuve d’empathie. Nous y étions et savions ce que ce jeune couple traversait!

Avec l’aide de Dieu, nous avions pu les encourager et les consoler, et peut-être que ce serait plus facile pour eux que pour nous.

Nous ne savions pas s’ils avaient appris à s’appuyer sur le Seigneur comme nous l’avions fait; alors peut-être avions-nous pu les conduire dans cette direction.

Le Consolateur était avec nous quand nous avions besoin de Lui, et Il est toujours notre force aujourd’hui.

C’était notre tour, maintenant, d’utiliser ce consolateur pour rassurer quelqu’un d’autre.